Ou les délires ethylisés que l'or ne manque pas de provoquer ...
L'Or ...
L'or ne ment pas, traque le faux cil,
L'ornement patraque, le fossile ;
Etui comprimé de mes fées ;
Et tue, y compris mes deux méfaits.
Méfaits, ils sont verbaux ;
Images... Je ris d'un bucolique voulant de l'or, bon verseau
Mais, fait-il son vers beau ?
Imagerie d'imbu comique : volant dès lors, bon vers sot.
Lorelei s'élevant, pire ; de sa voix qui ment -jeu de sape- roua le choeur.
L'or et l'ail, c'est le vampire de Savoie qui mange de sa proie le coeur.
Lis ! qui de verre pare le pot éthéré ?
L'or des foules rend ivre et serein,
Liquide vert... Parle poète terré !
-L'or des fous le rendit vrai, ce rien.
L'ornement patraque, le fossile ;
Etui comprimé de mes fées ;
Et tue, y compris mes deux méfaits.
Méfaits, ils sont verbaux ;
Images... Je ris d'un bucolique voulant de l'or, bon verseau
Mais, fait-il son vers beau ?
Imagerie d'imbu comique : volant dès lors, bon vers sot.
Lorelei s'élevant, pire ; de sa voix qui ment -jeu de sape- roua le choeur.
L'or et l'ail, c'est le vampire de Savoie qui mange de sa proie le coeur.
Lis ! qui de verre pare le pot éthéré ?
L'or des foules rend ivre et serein,
Liquide vert... Parle poète terré !
-L'or des fous le rendit vrai, ce rien.
Marcel Shagi et Anima Antris.
Sacrifier le poème à son vers millénaire, m'enfin !
RépondreSupprimer(Ceci dit, bel exercice, j'aime beaucoup.)
"Could you be more specific ?"
RépondreSupprimerEh bien ce genre d'exercice est passablement complexe. Il est donc affreusement difficile de parvenir à le dépasser totalement.
RépondreSupprimerCertes, j'y souscris.
RépondreSupprimerCependant, l'objectif n'était pas de dépasser cette forme, mais plutôt de s'y essayer, de s'y amuser, et -peut-être- de produire quelque chose d'à peu près valable.
Merci pour le compliment.